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 ♟ Ren A. Ravenstein

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Ren A. Ravenstein
Ren A. Ravenstein



Messages : 92
Date d'inscription : 01/10/2011
Pseudo : « Neer


♟ Ren A. Ravenstein  Vide
MessageSujet: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMar 4 Oct - 23:28

Ravenstein Ren Angström.


Identity card ~






Nom : Ravenstein
Prénom(s) : Ren, Angström
Age : 18 ans.
Sexe : Masculin.
Nationalité : Allemande. (Germanophone).
Race : Thergal.

Tics : Lorsqu’il est préoccupé ou gêné, il ébouriffe ses cheveux ou titille une de ses cigarettes ou bien même il saisit un verre de ses lunettes entre ses deux doigts et les déplacent légèrement en avant lançant son regard par-dessus les verres sombres.
Peurs : Thanatophobie et son inverse.
Explications ; Crainte morbide la mort et de la vie.
Être ou ne pas être, tel est la question.

Préférences : Les clopes, la solitude, le silence, le froid, le vide et elle.
Dégoûts : Les hexapodes, les combles, la luminosité à un certain seuil, la saleté, les lâches et autres personnages inutiles,
Autres trucs inutiles : Il porte toujours sur un lui une paire lunette et un paquet de clope. Il a un don inné pour le combat bien qu’il le renie. Ah et, ayant passé toute son enfance en Allemagne il a un accent plutôt fort et à coutume de parler sa langue maternelle.


Character Sheet ~


DISTANT – POSSESSIF – AGRESSIF – PROMPT – DIRECT – COURAGEUX – NERVEUX – ENVENIMER – LOYAL – AMER – FROID – CONVULSIF – RECULER – SOLITAIRE – DOMINANT – EXCESSIF – RANCUNNIER.
Au premier coup d’œil il semble se foutre totalement de votre présence. Ce n’est pas faux en un certain point. Souvent la tête baissé vers le sol, histoire de ne pas croiser votre regard et nier votre existence, Ren est un solitaire. Complètement hors de la société bien qu’il la côtoie chaque jour avec amertume. Aux premiers abords il vous parait déjà froid, sans aucune état d’âme envers quelconque personne passant dans la rue. Soit il vous nie la tête penchée en avant, soit il ferme les yeux, tête en arrière callée sur un mur. En général il ne fait pas le premier pas. On le retrouve bien plus collé contre un mur à l’extérieur d’une bâtisse, en allumant une clope par un froid hivernal qu’à l’intérieur d’un bar bondé. S’il prend ainsi du recul ce n’est pas que son choix, bien que cela le soit en grande majorité mais c’est aussi pour votre propre intérêt. Puisque d’un naturel prompt et agressif il ne ferait pas prier pour vous envoyer balader ou voir ailleurs s’il y est. Là encore c’est dans votre intérêt. S’il ne vous demandait pas gentiment et niaisement d’aller promener plus loin, il se montrerait bien plus agressif encore. Lorsqu’un être le dérange, l’agace, le perturbe ou bien même cherche à le mettre hors de lui, il parvient très souvent voir rapidement à le trouver. Son naturel agressif et nerveux prend souvent le dessus sur ces réelles intentions et bien qu’il cherche à se contrôlé, son être interne en reste plus fort et le surpasse bien vite. Dans ces cas-là, mieux vaut ne pas trainer dans le coin. Poings serrés ou les contractants, c’est ainsi qu’il montre son excès d’agressivité avant de passer à l’acte. C’est bien contre lui qu’il ait un don inné dans le domaine du combat car il ne renie. Il n’aime pas se battre. C’est aussi simple que «bonjour». Le fait de mettre à terre une personne, inconnue ou non, l’envahit tout d’abord d’un excès jouissif, de plaisir. Et lorsque la pression soudaine retombe et voir bien même avant, il regrette. Dès lors que son corps entre en contact avec un corps étranger, il ferme les yeux et se sent coupable. Il est coupable là n’est pas le problème voilà juste qu’il ne souhaite pas engendrer la mort ni même les blessures. Son corps parle de lui-même sans qu’il puisse le laisser intervertir avec sa conscience. Presque toutes ses crises se terminent de la même façon ; il sombre dans l’inconscience. C’est involontaire tout comme ses excès colériques mais c’est encore plus stupéfiant que lorsqu’il s’énerve. Son corps secoué par des spasmes se stoppe brutalement, comme s’il mourrait en l’espace de quelques secondes. Ren vie un perpétuel combat qui le livre contre son propre égal.
Ainsi notre jeune Allemand se veut excessif face à vous et sa propre conscience mais cela n’en reste qu’une partie de sa personnalité. Il en reste un bon drogué de la clope, il a du mal à se passer des effets de la nicotine qui, en envahissant son être, l’apaise et tente ainsi de réduire sa prédominance combative. Une journée sans clope, ce n’est pas une journée. Tout simplement. Alors oui on pourrait le considérer comme un drogué puisque plus d’une fois par semaine il se bourre de liquide infâme aux propriétés malsaines et qui rendent certaines personnes dans un état second. Cette fois encore, cela le détend, apaise son être, son esprit, l’égard, lui change les idées. Le portant loin de tout ce dont sa conscience pourrait l’affecter, de tout le mal qui enivre en temps normal ses flux sanguins. Entre autre Monsieur est une personne plutôt convulsive, comme prise au piège d’un venin inséparable de l’écoulement sanguin, se renouvelant lui aussi au même.
Ne nous égarons pas. Il reste tant de chose à dire sur Ren, de quoi écrire un roman, mais je me contenterais d’une jolie petite page world ( ; Monsieur est un dominant bien que souvent accoutrer d’un costume de bar man on ne fasse pas vraiment attention à cette petite différence caractérielle. Ainsi le jeune homme se veut possessif, délaissant rarement ce qu’il a pu trouver d’intéressant. Il ne serait pas rare de le voir ruminer dans son coin pour une simple histoire de bagatelle, cela lui est si commun ! Et bien que rancunier et amer face à toute trahison, mensonge, ou autre, il apprécie de vivre dans un halo d’amertumes, de fondations fausses et mauvaises qui le détourne de la réalité dure et cruelle. Vous l’aurez sans doute remarqué. Ren cherche à fuir la réalité, le monde dans sa façon de vivre et sans doute par cette même occasion, fuir ce qu’il a pu commettre, le mal qui l’entoure n’est autre que le sien. Sa vanité envolée de sa propre initiative. Est-ce normal ? Non, tout autant que lui et la grande majorité des êtres peuplant le vaste monde dans lequel vous vous êtes empêtrés. On pourrait tout aussi bien avouer qu’il est d’un naturel hors de lui, sadique puisque le sang coula facilement autour de lui. Or vous savez que ce n’est pas le cas. D’une part parce qu’il nie aimer se battre et d’autre parce qu’il en reste loyal. Son corps à beau lui jouer des tours dans un état de semi-conscience, il laisse sans mal le courage s’intervertir. Une personne courageuse aura sans doute la chance de rester à ses côtés. Ren l’est lui aussi. Il n’a pas peur de la mort mais peur de celle qui pourrait toucher un être cher. Alors il reste comme associable, visant à ne voir personne. La thanatophobie et son inverse. La peur de la vie, de l’avenir, d’un monde autre que celui qu’il connait à l’heure actuelle. Être ou ne pas être ? Que choisir ?



Tell me your story ~



Si Ren ne parle jamais de son enfance c’est en grande partie parce qu’il n’en connait pas l’existence. Certes il se souvient de quelques brefs épisodes mais rien de plus. Un grand vide l’anime, animant aussi sa vie, entourant sa naissance, les raisons qui l’ont poussé à entrer dans un orphelinat. Etais-ce une erreur ? Lui n’en a aucune idée. Il n’en a guère conscience alors je vais vous raconter toute l’histoire. Ce qu’il n’a pas connu, oublié, ce qui a été effacé de sa mémoire enfantine. Préparez-vous à connaitre toute la vérité.
CHAPTER I: EVANESCENCE.
Salle 538, Hôpital de Düsseldorf.
Tout autour d’un corps meurtrit se pressait une dizaine de médecins, la peur au ventre. Ils avaient dû faire un choix. Un long son continu résonnait dans l’espace clos. Un son qui ne présage rien de bon. Tous les regards étaient maintenant tournés vers un médecin, tenant entre ses mains un nourrisson. Rien, il ne se passait absolument rien. Un long silence s’installa dans la chambre tandis que le long bip sourd continuait perpétuellement son vacarme. Il y eu un léger gémissement. Le nourrisson, bouche béante, s’était mis à hurler. La tension s’apaisa. Il était en vie.
Salle d’attente n°3, Hôpital de Düsseldorf.
Dehors, il faisait nuit noire. Il devait être dans les environs de trois heures. Le petit jour ne se lèverait pas de sitôt. Il y avait peu de monde. Sur l’une des chaises blanches était assis un homme blond, un peu moins de la trentaine, tête baissés, les coudes posés sur les genoux, et les mains fébriles tenant avec poigne ses cheveux lui tombant presque dans les yeux. Tout son corps tremblait. Ce n’était pas la fatigue qui le mettait hors de lui, ni même le fait d’avoir vu un être cher périr sous ses yeux. C’était cette attente indéterminable entre la vie et la mort. Lui-même ne savait pas quel était le meilleur choix. Ses yeux étaient clos, comme s’il cherchait à penser à autre chose que l’espace blanc et clos que représentait la salle d’attente. La porte coulissa légèrement. Une infirmière apparue, le teint pâle. Entre ses mains, elle tenait un bloc note dans lequel était inscrit un seul et unique nom : celui de la salle 538.
« Mr. Ravenstein ? »
Appela-t-elle avec hésitation. Personne ne réagit. La petite salle contenait pour l’heure trois patients, trois hommes. Le premier, juste devant la porte était un jeune garçon, les bras entourant ses genoux replié sur lui-même. Le second, juste à sa gauche était un homme, la quarantaine, brun et vêtu d’un costume flambant neuf. Tous deux regardait l’infirmière avec un maigre sourire. Elle ne le leur rendit pas. Tout au fond de la salle, replié sur lui-même, il avait cet homme d’un peu moins de trente ans. Cet homme fébrile qui empoignait avec violence sa chevelure blonde. L’infirmière, dans le doute, répéta une seconde fois.
« Mr. Ravenstein ? »
Cette fois encore, silence. Personne ne bougea. L’infirmière irritée, commença à trépigner d’impatience. Elle menaçait de partir quand soudainement, renversant sa chaise tant son mouvement était brusque, l’homme du fond de la salle se leva. La dame eut un léger sourire agacé qui s’effaça bien vite lorsqu’elle vit le visage du jeune homme. Le teint blême, les yeux cachés derrière ses lunettes sombres, ses cheveux blonds tombant sur son visage et on voyait que son visage était marqué par l’angoisse, la fatigue. Mais ce qui frappa encore plus la dame en blouse blanche, c’était le fait que cet homme portait sur le visage des traces de luttes. Son visage, son cou, sa chemise ainsi qu’une mèche de ses cheveux étaient rougie par le sang. Elle en resta figée. Il se dirigeait pourtant vers elle avec détermination. Alors elle fit volteface et s’engagea dans un long dédale de couloirs. L’allemand fut contraint à la suivre. Lorsqu’il l’eut rejoint, elle s’arrêta. Elle saisit son bloc note et le plaça juste devant ses yeux en tournant les pages. Elle se stoppa l’une d’entre elle et l’arracha vivement puis la déposa au-dessus du petit cahier. Redressant ses lunettes, elle lu attentivement avant de se prononcer.
« Patiente de la salle 538, arrivé à l’hôpital de Düsseldorf aux environs d’une heure. Décédée à 3 heure moins le quart et transférée à la morgue. »
Son corps chuta brutalement. L’homme se tenait replié sur lui-même, au sol. Ses mains tremblantes posées sur le sol froid du couloir blanc. Son visage trahissait ses émotions mais désormais peu lui importait. Tout son corps était fébrile. Sa respiration se fit haletante. Et bien que ses cheveux d’or recouvrent ses yeux, elle put voir une larme s’écouler le long de sa joue. De sa bouche entrouverte un cri profond de désespoir s’échappa. Il hurlait.

CHAPTER II: ALBESCENT.
« L’enfant a survécut. »
C’est tout ce qu’avait ajouté l’infirmière en se détournant du corps projeté au sol, tremblant de tout son être. L’homme était secoué par ses spasmes. Son corps tout entier tremblait. Ses mains se crispèrent. Il roula sur le côté, chutant dans l’inconscience.
Lorsqu’il s’éveilla, il était allongé sur un lit dans une salle qu’il supposait être d’hôpital. Son esprit s’était quelques peu apaisé lors de son état d’inconscience. La perte de l’être qui l’aimait l’avait rendu malade. Il l’était déjà, mais voilà qu’on lui portait une nouvelle. Il avait un fils. Désormais il ne souhaitait plus que se rattacher à ce petit être qui serait son seul lien avec elle. A côté de lui, il y avait une de ces machines d’hôpital incompréhensibles. Il appuya sur un bouton ressemblant à un interrupteur. Quelques instants plus tard, la porte de la chambre coulissa et une infirmière se présenta sur le seuil. Elle n’eut le temps de prononcer un mot que l’homme lui lançait avec violence.
« Je veux le voir. »
Stupéfaite, la jeune infirmière le regarda avec des yeux ronds. Elle ne savait que dire. L’infirmière de la salle d’attente la poussa violement sur le côté et pris sa place. Elle regarda l’homme assis sur son lit avec insistance. Ce dernier lui rendit son regard. On aurait dit qu’il s’apprêtait à se battre mais il n’en fut rien. La femme en blouse blanche tourna les talons et lança derrière son épaule. ;
« Veuillez me suivre. »
L’homme saisit sa veste qui ressemblait étrangement aux gilets pare-balles et la suivie sans rechigner. Une demi-heure plus tard, une porte s’ouvrit. Dans la salle, il y avait un homme en costume noir, plongé sur une feuille, accoudé à un bureau type XVIIème. C’était un homme qui touchait la cinquantaine, son visage était déjà ridé. Un peu plus loin, trois infirmiers qui entouraient un nourrisson. L’infirmière entra, l’homme resta sur le seuil. L’infirmière se prononça.
« Mr. Le Directeur, voici Stefan Angström Ravenstein, le père de l’enfant. »

CHAPTER III: REN.
Bureau du Directeur, Hôpital de Düsseldorf.
L’allemand était maintenant adossé sur le dossier du fauteuil. Face à lui se tenait le Directeur de l’hôpital, toujours accoudé à son bureau. Ce dernier posait un regard grave sur l’homme à la chevelure blonde. Juste à côté du fauteuil où était assis Stefan A. Rabenstein, se tenait l’infirmière qui tenait le nourrisson entre ses deux mains. A maintes reprises, déjà, le Directeur et l’infirmière s’étaient succédé pour donner l’enfant à ce fameux Stefan. Mais ce dernier refusait catégoriquement ne serait que de le regarder. Ce n’était pas sa préoccupation pour le moment. Alors, sans plus chercher à lui montrer la présence de son fils, le Directeur lança son discours.
« Mr. Stefan Angström Rabenstein, vous avez conscience que si vous restez ici, votre identité sera révéler au grand jour. Et vous savez que cela n’arrivera pas, ne serais-ce que si vous tenez un tant soit peu à votre vie. Alors si vous ne souhaitez pas le garder près de vous, nous nous verrons obligé de le placer en Orphelinat. Nous consentirons à garder l’anonymat. Veillez seulement à lui trouver un nom. »
Les deux hommes se dévisagèrent. Ce n’est qu’alors que Stefan jeta un regard vers son fils. Les poings fermés, ce dernier le regardait attentivement de ses yeux bruns-dorés. Ce simple regard voulu que Stefan se crispe à nouveau sur sa chaise, ses mains tremblantes serraient ses genoux. Ses yeux se crispèrent. Puis, de la même manière qu’il avait fait valser la chaise dans la salle d’attente, il renversa le fauteuil. A grand pas il se dirigea vers la porte coulissante sous les yeux ahuris de Directeur et de l’infirmière. Lorsqu’il arriva sur le seuil de la porte, il posa sa main sur la coulisse et jeta un coup d’œil en arrière.
« Ren, il s’appelle Ren. »
Sur ce il franchit le seuil de la porte et la claqua violement derrière lui. Et tandis que le Directeur regardait encore la porte avec impuissance, l’infirmière poussa un petit cri de surprise. Là, sur le bureau du Directeur était posée une enveloppe aussi grande qu’un classeur et dont le contenu devait bien être aussi lourd qu’un dictionnaire. Sur l’enveloppe était écrit mot pour mot : « Ren Angström Ravenstein. Ne pas ouvrir avant sa 15ème année. ». Le Directeur et l’infirmière se lancèrent un regard de surprise, encore béat tant les questions fusaient dans leurs esprits.
C’est ainsi que Stefan Angström Ravenstein disparu de la circulation.

CHAPTER IV: WAISENHAUS.
Orphelinat de l’Hoffnung, Düsseldorf.
L’Orphelinat. C’était un lieu étrange, quelques peu sinistre. Ren y avait été conduit dès son plus jeune âge. Quelques mois seulement après la disparition volontaire de son père. Il avait grandi entouré par des gamins au passé sombre, louche, malheureux, orgueilleux, … Il y en avait pour tous les goûts des infâmes mais pas un seul n’avait eu une enfance plus douteuse que celle de Ren. Au fond, le gamin était des plus heureux. Il n’avait pas à se morfondre sur son passé pitoyable ou mourant. Non, lui n’avait aucun souvenir il ne connaissait ni son père, ni sa mère. Il avait toujours vécu dans l’enceinte de cet établissement, pourquoi le trouverait donc laid et sans vie comme tous les autres gamins ? Mais à une exception près, le jeune allemand n’avait pas du tout un caractère comme avait pu l’avoir bon nombre des petits mômes qu’avait pu recevoir l’Orphelinat de l’Hoffnung. Ce jeune garçon là, il était particulier, bien que plutôt normal en apparence. Il s’irritait relativement vite et ses réactions colériques en laissait coït plus d’un. Il ne fallait pas moins de deux adultes pour contenir le jeune garçon dans ses excès de colères. Mais ce n’était plus vraiment fréquent ces derniers temps. La grande partie des jeunes garçons qui peuplaient l’Orphelinat avaient fini par comprendre qu’ils n’étaient pas de taille à affronter tel genre de phénomène. Mais là encore cela en restait un gamin à peu près normal. Certes les garçons colériques ne courraient pas les rues mais ils étaient très fréquents dans des Orphelinats. Il n’était donc pas encore un cas à part. Alors durant quelques années plus rien ne se passa jusqu’à l’aube de ses 15 ans.
La semaine précédant sa 15ème année, on transféra un garçon du nom de Karl Wiechmacher à l’Oprehlinat de l’Hoffnung. Il touchait sa 17ème année et qui n’était autre que succession de défauts. Voyou, voleur, pilleur, menteur, traître, drogué, … Il était passé par tous les types des malfrats avant que sa famille ne choisisse définitivement de le placer en Orphelinat. Ainsi donc, ce grand gaillard se retrouva dans les mêmes locaux que ceux dans lesquels vivaient Ren depuis son enfance. Il s’avéra que ce jeune homme plutôt difficile ne se montre pas très indulgent envers le blond. Depuis le temps qu’il vivait ici, Ren avait sa petite bande. Mais voilà quand une journée, elle était passée aux mains de Karl. Ce voyou qui en profitait pour leur faire découvrir la joie de la nicotine, soit des clopes. Ce mauvais garçon avait choisi Ren comme souffre douleurs. Tout simplement parce que le blond était respecté de tous et cela, Karl ne pouvait l’accepter. Souvent le voyou le giflait ou bien même se défoulait sur le corps frêle du jeune allemand. Mais ce dernier encaissait sans broncher. Ses coups avaient beaux lui porté un atteinte physique, le jeune garçon accumulait sans qu’un seul de ses sentiments nerveux ne se réveillent. Jusqu’au jour précédant son 15ème anniversaire. C’était un matin neigeux mais la petite cour avait été déblayée et permettait donc aux garçons de se rendre dehors. Adossé contre un mur extérieur, Ren regardait avec amertume le Grand Karl faire régner sa violence et sa puissance. Tous s’y résignaient. Tous exceptés le blondinet qui se tenait à l’écart, refusant de faire ce que lui dictait le voyou et encaissait ses coups sans broncher. Alors, cette fois-ci le voyou en eu marre de tous les jeunes garçons, le regard tourné vers le jeune allemand, il en avait assez que ce jeune garçon fébrile soit considérer comme une idole par les autres gamins. Tout simplement parce qu’il supportait tout ce que le voyou pouvait lui faire subir. Et cela, le Grand Karl ne pouvait l’admettre. D’une démarche assurée, violente, le Grand Brun se dirigea vers Ren, les poings serrés. Le jeune garçon leva les yeux sans broncher, qu’allait-il inventer cette fois-ci ? Or cette fois-là il n’inventerait rien, il le clouerait au sol et ferais subir son autorité à tous, même à ce fringuant blondinet qui avait toujours vécu dans les locaux de l’Orphelinat de l’Hoffnung.
Tous les gamins de l’Orphelinat s’étaient regroupés, assistant à la scène. C’était populaire les bastons à cette époque. Karl, sans même prévenir, décocha une grande droite au jeune allemand qui tomba littéralement sous le choc, face contre terre. Avant même qu’il puisse bouger un muscle, le voyou lui envoya trois coups de pieds brusques et violents dans le ventre. Le jeune garçon, le corps replié sur lui-même se tenait douloureusement le ventre de son bras gauche. Son bras droit soutenait son corps. Sa main vibrait. Voilà que Karl lui assena un quatrième coup dans le torse. Ren gémit sous la douleur. Son corps tout entier tremblait. Le voyou afficha un magnifique sourire triomphant.
« C’est ça, gémit fillette ! Si tu ne l’avais pas encore remarqué, tous sont sous ma dictature, tu n’es pas un cas à part ! »
Il rit de son rire mesquin et funèbre. Et tandis que le voyou riait, Ren se relevait, poings serrés et tremblants. Sans vraiment se soucier de l’état du jeune garçon, Karl lui asséna un cinquième coup de pied dans le torse. Mais cette fois-ci, le jeune allemand n’en tomba pas. Son regard doré fixé dans celui du voyou. Son corps ne lui répondait plus, il n’était plus maître de lui-même. Sa bouche s’ouvrit et il laissa s’échapper un cri de fureur. Vif comme l’éclair, son poing gauche vint percuter de plein fouet l’estomac de son agresseur. Le voyou en resta pantois. L’agresseur agressé. Et tandis que le regard suppliant de Karl cherchait celui de Ren, ce dernier lui asséna un coup plus violent encore au niveau de la gorge. Sous le coup, le drogué fut projeté en arrière, percutant le sol avec violence. Un liquide rougeâtre vint tâcher la petite cour de l’Orphelinat de Düsseldorf.

CHAPTER V: EIN UNBEKÜMMERTES LEBEN FÜHREN.
Salle 1, Hôpital de Düsseldorf.
Retour à la case départ. Ren se retrouvait une nouvelles fois dans une pièce close. Mais cette fois-ci le corps de sa mère, sans vie, n’était pas étendu sur un lit à quelques pas de lui. Non cette fois-ci c’était lui qui était étendu inerte sur un lit d’hôpital, enfermé dans une salle close et blanche. Le jeune allemand avait eu la même réaction que son père 15 ans plus tôt. Sombrant dans l’inconscience, suspectée comme meurtrier. Or Ren n’avait pas tué Karl. La transmission radio avait informé qu’un jeune homme avait été grièvement blessé au sein de l’Orphelinat de l’Hoffnung. Il souffrait de commotions cérébrales mais d’après les médecins, il s’en tirerait. Le cas de Ren, quant à lui, ne semblait pas si simple.
La porte de la chambre coulissa. Peu à peu le jeune allemand ouvrit ses yeux. Ils avaient perdus leurs teintes dorés et avaient un aspect tout à fait banal, bruns. Il put donc apercevoir une infirmière entrer dans la salle close. La salle était d’un blanc immaculé, il se trouvait doc à l’hôpital. Elle lui tournait le dos et devait sûrement effectuer quelques réglages à la machine à laquelle était raccordé le jeune blond. Sa main vint agripper le fil de sa perfusion mais avant même qu’il n’ait pu tirer dessus, ses yeux se fermèrent violemment. Il sombra dans un sommeil comateux.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était toujours dans la même pièce mais cette fois-ci, un vieil homme en costume noir et cravate était assis sur un fauteuil en face du lui. A son côté, adossé contre le mur, il y avait cette infirmière pas vraiment sveltes qui le regardait avec des yeux ronds. Dison plutôt que tous deux, l’infirmière comme le vieil homme en costard, regardait Ren s’éveiller avec surprise. Ce dernier ne comprit pas, et ne chercha pas à comprendre. Il s’assit sur le lit. Il était toujours habillé de la chemise blanche et du pantalon noir qu’il portait lorsqu’il avait blessé Karl. Seule une perfusion placée à son bras gauche le reliait aux machines étranges de l’hôpital. En y regardant un peu plus attentivement, il put remarquer que sa chemise blanche était tachetée de sang ainsi que quelques mèches de ses cheveux. Il ne pouvait voir son visage mais il savait que ce dernier avait été épargné. Après s’être inspecté méticuleusement, il dédaigna enfin lancer un regard vers les deux autres occupants de la pièce close. Le vieil homme assis à quelques mètres n’était autre que le Directeur de l’Hôpital de Düsseldorf. En apprenant la nouvelle ; soit, que Ren Rabenstein avait frôlé le fait d’être un meurtrier, il avait tout de suite contacté l’Orphelinat d’où ils avaient transférés le jeune garçon. Alors il l’avait placé dans une salle close qui servait comme salle de test sur certains patients souffrants de maladies encore inconnues. Cet enfant présentait les mêmes symptômes que son père, ils avaient tous deux chutés après avoir tué, ou presque dans un certain cas, et ce à cause d’émotions fortes. Ce gamin n’était pas normal, il en avait la preuve sous les yeux, et pourtant il n’arrivait pas à se faire à l’idée qu’il avait sous les yeux ce pauvre Ren et non Stefan. C’est vrai que la ressemblance entre le père et le fils était frappante. Excepté peut-être la couleur de ses yeux, le jeune garçon était un sosie de son paternel. Même couleur de peau, style d’habits et chevelure blonde tombant presque sur les yeux. Pas de doute, il s’agissait bien là d’un Ravenstein. Le vieil homme se racla la gorge avant de prendre la parole.
« Mr. Ravenstein, j’ai une lettre qui vous est adressé de la part de votre père. Ceci est confidentiel, tout ce que vous pourrez apprendre dans cette lettre doit rester dans le plus grand secret. »
Sur ces mots, il saisit une mallette noire qu’il ouvrit avec patiente et en sortit une enveloppe dont le contenu devait être aussi lourd et important que pouvait l’être un dictionnaire. Cette enveloppe, il la déposa sur sa mallette, la tenant encore entre ses mains. Le Directeur inspectait le dessus. Il était encore inscrit les mêmes mots qu’il y a 15 ans ; « Ren Angström Ravenstein. Ne pas ouvrir avant sa 15ème année. ». Le vieil homme arracha de l’enveloppe la dernière phrase et en fit une boule qu’il saisit entre deux doigts. Alors, avec un brusque mouvement, Ren saisit les fils de sa perfusion et les arrachant violement, les soutirant de son corps. Un liquide chaud et amer s’écoula le long de son avant-bras, marquant sa chemise d’une nouvelle teinte rouge. Tout aussi vif, il bondit face au Directeur et lui soutira avec violence le petit bout de papier qu’il venait de chiffonné. Le papier avait beau être ancien, on pouvait encore nettement lire la phrase : Ne pas ouvrir avant sa 15ème année. ». La main qui tenait le papier chiffonné se mit à trembler. Les yeux du jeune garçon s’embuèrent, son visage s’était crispé. Il hurla un mot, un seul.
« POURQUOI ?! »
Il s’effondra sur le sol, à genoux. Sa tête penchée en avait, il regardait avec impuissance le sol de la salle qu’il tâchait de son sang rougeâtre et liquide. Et, sans que personne ne s’y attende, il saisit d’un geste vif la lourde enveloppe. La patiente ne le rattrapa pas, il déchira d’un grand mouvement du bras droit l’enveloppe. Le contenu était regroupé en deux parties. L’une était une pile documents, tels que des journaux et une longue lettre. La seconde partie était un petit coffret qui contenait une paire de lunettes teintées ainsi qu’une tenue qui comportait chemisier, pantalon et veste, le tout dans le genre un peu bar man. Ren saisit entre ses deux mains la lettre de son père, la lu entièrement entre ses mains fébriles et l’arracha violement une fois finie. Puis son corps bascula sur un côté et il retomba dans l’inconscience.

CHAPTER VI: VERSCHWINDEN.
Disparition.
Lorsque l’infirmière s’était présenté une nouvelle fois à l’entrée de la salle 1, le lit était vide, tacheté de sang. Le drap avait dû lui servir de serviette puisqu’il était trempé et que l’eau coulait encore dans le lavabo placé au fond de la salle. Son lit était baigné de sang et le par terre aussi. Il ne restait plus qu’à nettoyer toutes les traces. Mais le fait était là, Ren avait disparu.

Lorsque l’Allemand se réveilla, il se trouvait sur un matelas posé à même le sol. La pièce dans laquelle il se trouvait était très restreinte. Il devait avoir juste la place de s’allonger à côté du matelas si l’envie-lui prenait. Il n’y avait pas de miroir, mais rien qu’en regardant ses habits, il comprit qu’il n’était pas bien propre. Son sang avait recouvert une bonne partie de sa chemise blanche et s’était écoula jusque sur son pantalon et bien que noir, on pouvait bien distinguer les tâches rougeâtres qui s’y imprégnaient. On toqua à la fenêtre. Ren l’ouvrit sans rechigner. Une jeune fille de son âge le regardait de ses yeux pâles, couchée sur le toit de la petite bâtisse. Elle se releva et pénétra dans la pièce par la fenêtre. Ouvrant la porte, elle fit signe au jeune homme de la suivre. Alors elle lui indiqua une pièce qui n’était autre qu’une salle de bain. Le jeune homme la remercia d’un bref signe de tête et elle disparue.

CHAPTER VII: LISE.
Plus de deux ans s’étaient écoulés. Ren atteindrait bientôt sa maturité, soit sa 18ème année. Il avait passé tout ce temps avec cette jeune femme, Lise. Elle était originaire de Norwich, une ville d’Angleterre et elle vivait seule depuis l’âge de 13 ans, lorsque ces parents étaient morts suites à un accident de voitures. Un crash entre deux camions sur une route vallonnée montagneuse. Rien de tel pour un tragique accident. Au fils des ans, les deux jeunes gens avaient tissés une relation qui était plus qu’amicale. Mais le jeune Allemand le niait. Bien qu’elle ait pu voir le jeune homme dans l’une de ses crises, Lise n’avait fait que le soutenir pour supporter cette dure épreuve. Ren avait conscience qu’il avait héritée de quelque chose de malsain et qui lui venait de son paternel. Etais-ce la folie ? Peut-être. Après tout il n’en avait aucune idée. La seule chose dont il avait conscience c’est qu’il était le résultat d’une expérience incertaine, que son corps était envahi par quelque chose d’inhumain et face à cette chose, il était impuissant.
C’était un jour de décembre. Une brume épaisse s’était levée. Ren était encore allongé sur son lit, regardant fixement le plafond de la petite pièce. On toqua à la fenêtre. Quelques secondes plus tard, il avait ouvert la fenêtre et s’était hissé sur le toit de la petite bâtisse, rejoignant Lise. Cette dernière s’était assise sur le toit enneigé, regardant vaguement les silhouettes des passants qui se succédaient. Ses yeux pâles laissaient refléter sa tristesse. Le jeune homme s’assit près d’elle, sans même lui lancer un regard. Lui aussi regardait les passants avec ce même air triste, sans vie. Ils dépendaient de ce monde dont ils ne voulaient pas. Tout commença il y a un an, alors que la ville florissait petit à petit. L’Allemand ne vivait ici alors que depuis un peu moins d’une année. Il commençait à s’habituer aux charmes de la cité. Tout semblait aller pour le mieux. Lise lui laissait découvrir de lui-même ce à quoi elle était confrontée chaque jour, un triste sourire sur le visage. Il savait qu’elle ne serait plus jamais heureuse mais il sentait qu’en sa présence sa tristesse s’envolait quelques peu. Alors c’était produit un énorme tremblement de terre, renversant quelques maigres immeubles de leurs quotidiens. Voilà que la centrale faisait des siennes et elle ne s’arrêterait pas de sitôt puisque petit à petit les tremblements de terres se faisaient de plus en plus fréquents. Laissant s’échapper une radioactivité intense. Nombreux furent ceux qui périr mais tout autant résistèrent et développèrent des facultés inédites. Alors la ville fut séparée en quatre groupes. Un peu à la façon des gangs, chacun avait quelques choses qui les différenciaient des autres. C’est ainsi que se fondèrent les quatre clans : Anaril, Malvienn, Thergal et Yacii. Mais cela ne les empêchèrent pas de se lier d’amitiés.
Ren, sans vraiment s’en rendre compte était devenu un être aux caractéristiques génétiques similaires aux Malvienn. Il était doté d’un pouvoir sans s’en être réellement conscient. Certes il avait remarqué que ses crises amenaient à faire flamber autour de lui des étincelles dorées mais jusque-là il n’avait songé qu’à de simples coïncidences. Le jeune allemand n’était pas du genre à conclure le fait sur le coup il lui fallait un certain temps d’adaptation. Sa force elle-même ne lui était pas vraiment familière bien qu’il cherche à al réprimandée, petit à petit il la laissait le submerger pour devenir sans cesse plus puissant. Assez fort pour se contenir sans doute.
Quand à Lise, il n’avait jamais vraiment réalisé ce qu’elle était. Elle n’avait pas muté en semi-animal et ne possédait ni pouvoirs, ni armes. Etait-elle devenue Yacii sans qu’il puisse s’en être rendu compte ? Tant submergé par ses propres problèmes, Ren en avait totalement oublié le fait que Lise puisse en avoir. Il se sentait coupable au fond.
Et nous voilà rebasculé un an plus tard, alors que les jeunes gens étaient tous deux assis l’un près de l’autre sur le toit. Leurs regards tristes se mêlèrent à ceux des pauvres passants. Ils avaient, maintenant, conscience que leurs vies étaient en danger. La mafia se faisait de plus en plus présente. Ren détourna le regard pour le poser dans celui de Lise.

CHAPTER VIII: MORD.

Folie.
Soudainement Lise s’était levée. Ses yeux gardaient une teintes pâles mais laissait deviner un épais manteau inhabituel. Un sentiment étrange l’habitait. Elle était prise de crises folles. En un regard, l’allemand comprit. Lise était Yacii, empêtrée par sa propre douleur elle en était devenue folle. Si tourmentée qu’elle s’apprêtait à passer à l’acte de l’impossible pour se démêler de cette étreinte exécrable. Alors, aussi soudainement qu’elle venait de se lever, elle agrippa la veste du jeune homme pour le lancer au bord du gouffre. La maison avait beau être petit, elle était très haute, plus de trois ou quatre mètres séparait le toit du sol. Désirait-elle le tuer, lui, son ami ? Les poings du jeune homme se crispèrent. Non il ne voulait pas se laisser submerger, pas cette fois. Il s’arrêta au bord du gouffre. Les yeux de Lise luisaient de folie. Alors c’était ça un Yacii ? Un être totalement dévoré par un sentiment ? Pauvre Lise on ne lui avait pas confié le plus docile. Une fois encore elle empoigna le col de la chemise du garçon et le poussa contre les tuiles du petit toit. Ren regarda son chemisier taché de sang. Il était ouvert au niveau de l’épaule gauche, laissant couler de longs filets de sangs. Peur et colère s’engouffrèrent en son être. Ses yeux bruns prirent une teinte dorée presque flamme. Une fumée noire s’échappa de la fenêtre par laquelle il avait rejoint le toit. Non … La maison prenait feu. Et eux n’avait d’issues sur là où ils se trouvaient. Une fois encore, Lise empoigna le jeune homme par la chemise. Mais cette fois-ci, il la rejeta d’un violent coup de poings dans l’estomac. Sous le choc, elle se plia en deux et s’effondra sur les tuiles. Quant à Ren, il regardait ses poings tremblants ne désirant pas recommencer. Alors les flammes léchèrent les tuiles. Le feu qu’il avait créé était aussi incompréhensible que lui-même. Une partie du toit s’effondra et … Lise avec.

CHAPTER IX: WIEDERGEBURT.
« NON ! »
C’est tout ce qu’il avait pu hurler lorsque le toit s’effondra sur le frêle corps de Lise. Accablé, il chercha une issue. Il n’y en avait qu’une ; sauter du toit. C’est ce qu’il fit …
Lorsqu’il percuta le sol, il sombra à nouveau dans l’inconscience. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était toujours couché sur le sol. Une importante flaque de sang recouvrait le sol de la rue sombre. Il faisait nuit. Ses vêtements étaient emplis de cette couleur rougeâtre. Il venait de comprendre. Cette fois Ren faisait partit de Nightfield.



Race


Malvienn. J’aimerais juste préciser que j’aimerais un pouvoir qui puisse être responsable de la mort d’une personne [pour que cela concorde avec l’histoire qui n’est donc pas finie à cause de cela]. Donc je souhaiterais juste savoir s’il est possible de concordé l’histoire et le pouvoir ? Merci. div>

Pouvoir


♟ Être capable d'enflammer tout et n'importe quoi, même des matériaux réputés ignifuge
Malvienn, être possédant des pouvoirs surnaturels. Etais-ce là la définition que l’on pouvait en faire ? Peu importe, tout ce que Ren savait c’est qu’il faisait partit de ce groupe, qu’il était devenu l’un des leurs sans même l’avoir voulu. Tout remonte à environ un an au préalable. Une explosion c’était soudainement fait sentir, provoquant tremblements de terre et mutations génétiques des êtres peuplant l’endroit. Voilà comment l’Allemand avait reçu son pouvoir consistant à enflammer tout et n’importe quoi, même les matériaux réputés ignifuges.
1ERE PHASE DU PROCESSUS.
Imaginez que le pouvoir que vous possédez décuple vos forces, qu’il vous rend plus force, qu’il s’améliore au même rythme que vous. Imaginez que votre expérience dépasse tout entendement. Que ce que vous pouvez accomplir puisse vous changez brusquement. Tout cela, c’est ce qu’à ressentit Ren au cours de sa mutation génétique le rendant l’un de ceux qu’on peut nommer à ce jour Malvienn. Tout d’abord, sa capacité mettra un certain temps à apparaître, un peu comme s’il fallait appliquer un long théorème avant de pouvoir utiliser le résultat. Elle s’interprétera notamment par une fumée noire signe de combustion avant de se transformer en un feu plus ou moins important selon l’envie du jeune homme. En général, ces premières tentatives de combustions se feront à quelques mètres de lui et seront incontrôlées. Un simple et brusque changement d’humeur pourrait être coupable d’un départ de feu. Mais là nous ne parlons que de simples feux de thermes banals. Ceci est la première phase, les feux plus ou moins proches qui touchent seulement l’extérieur de ce que peux désirer voir disparaître en fumé le jeune homme. Mais quoi qu’il en soit il est incapable de donner vie à ce feu, qu’il lui obéisse complètement. Son art est dangereux tout de même, évitons de l’oublier.
2EME PHASE DU PROCESSUS.
Tout ce qui peut dépasser l’entendement. Voilà une brève déduction. Bon dieu, les mutations n’ont cessées d’augmenter face au temps importants qu’à passer le jeune homme près de la source radioactive. Victime de pouvoirs étranges se diluants peu à peu dans son sang et ses informations génétiques. Désormais son pouvoir à décupler. Le feu n’émane plus à distance, il se doit aussi d’émaner directement de son être. Plus particulièrement au niveau de ses mains en général. Une vive lumière prend vie aux creux de ses sombres poings et voilà qu’apparaissent les premières flammes ardentes et destructrices. Habités tout entier par ce feu dévorant, son corps n’est pas victime de la combustion. Seul une vive douleur accompagne ces phénomènes rien de plus. Toujours est-il qu’il subit souvent les conséquences de ses actes de la même manière qu’il subit ses humeurs ingérables. Tout le mène vers un état d’inconscience pendant lequel il pourrait être vulnérable. C’est le résultat de tout ce que doit endurer le jeune homme. Sa pression sanguine est telle que pour se réguler il doit être dans un état semi-comateux, histoire de remettre son métabolisme sur pied le plus rapidement possible. C’est ainsi que sa puissance grandit. Et au détriment de ses doigts fébriles, ses iris peuvent-elle aussi prendre cette teintes de feu, seulement s’animer comme de véritables combustions, signe qu’il utilise son pouvoir à ce moment même.
3EME PHASE DU PROCESSUS.
[…]


« Nate.


Year ( ;
Mon p’tit pseudo c’est Nate. Ceux qui sont sur PW doivent sans doute me connaître. D’ailleurs bravo aux Admins et aux Modos, rien qu’en lisant ‘l’intrigue j’ai eu envie d’y jouer **. Voilà je viens me réessayer à l’humain que j’ai délaissé depuis quelques temps. Donc bref, j’arrive :DD



Dernière édition par Ren A. Ravenstein le Dim 11 Mar - 20:09, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMar 4 Oct - 23:58

Salut 8D
Un vrai paradoxe ce petit Allemand :b
Pour le pouvoir, aucun souci ♥
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 7:59

SHIZUOOOO /O/

*va se pendre*

Bienvenue sur le forum Nate, j'aime le caractère contradictoire de ton perso **
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 8:29

Merci ♥
Il serait possible de déjà me donner les propositions pour le pouvoir ?
[Histoire d'avancer dans l'histoire (;]
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 19:07

Je réserve un sujet avec toi ! ahah
Welcomeu'h ♥
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 20:18

A vrai dire, pour les propositions, il faudrait avoir une idée de ce que tu souhaiterais être...Thergal, ou Malvienn. Si vraiment tu n'es pas sûre, je te proposerai trois armes et trois pouvoirs, mais il serait préférable que tu te décide avant ^^
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 20:36

So, j'opte pour Malvienn (;
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptyMer 5 Oct - 20:50

Okay ;D

Alors, je te propose...

La capacité de parler aux animaux, l'invisibilité, ou alors être capable d'enflammer tout et n'importe quoi, même des matériaux réputés ignifuge C:
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptySam 8 Oct - 15:37

So. Je pense que je n'en rédigerais pas plus pour l'instant (;
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MessageSujet: Re: ♟ Ren A. Ravenstein    ♟ Ren A. Ravenstein  EmptySam 8 Oct - 17:40

Cay nickel, validée ;D

Bon jeu ~
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