1st personnalité (naturelle).
CALME - RÉSERVÉ - PRUDENT - IMPASSIBLE - GENTIL - SERVIABLE - DOUX - AIMABLE - PROTECTEUR - CONFIANT - COMPRÉHENSIF - FRANC.

2nd personnalité.
NARCISSIQUE - VICIEUX - DRAGUEUR - MÉFIANT - PROVOCATEUR - MANIPULATEUR - PERVERS - POSSESSIF - FOURBE.

Giotto est bipolaire. Je m’explique. Il a plusieurs personnalités, dont deux reviennent le plus souvent - en fait c’est parce que j’ai la flemme de toutes les faire que je dis ça, mais osef -, celles citées ci-dessus. Il passe de l’une à l’autre en quelques secondes. Quelques fois mais rarement, il devient violent. Ces personnalités sont en conflit perpétuel, et il fait beaucoup d’efforts pour les maintenir enfermées en lui.

Giotto étant un Parrain de la mafia, il a beaucoup de pression, et a parfois besoin de se lâcher. Souvent, quand il est fatigué, une autre de ses personnalité prend le dessus, n’ayant plus la force de luter contre elle. Néanmoins, la personnalité « naturelle » de Giotto est la première citée.

[ excusez-moi, c’est dur de décrire quelqu’un de bipolaire, j’ai bâclé le caractère mais promis, je me rattraperais en RP ]

Giotto vivait avec sa mère dans un petit village aux alentours de la campagne.. L’endroit était paisible. Sa mère le gardait, lui apprenait tout ce qu’il devait savoir, son père étant porté disparu et elle ne travaillait pas et n’avait pas l’’argent pour l’envoyer à l’école. Le garçon avait alors 6 ans quand le drame arriva. Il semblait que ce serai un jour comme les autres. Il se lèverait, irait prendre sa douche, mangerait puis aiderait sa mère aux travaux quotidiens. Sauf que non.

Alors que le garçon sortait de la douche, les cheveux trempés, il entendit une détonation. Elle semblait provenir de la cuisine. Affolé, le petit blond se hâta vers la cuisine. Là, étendue par terre, sa mère dans une flaque de sang. Le garçon s’agenouilla à côté d’elle, touchant son épaule. La mère ne bougea pas. Le petit la secoua vainement, mais il avait compris. Plus jamais elle ne viendrait lui dire bonne nuit le soir, dans son lit ; plus jamais elle ne lui sourirait ; plus jamais il ne la verrait. Peut-être en rêve. Aucune larme ne coula de ses yeux oranges. Aucune grimace de tristesse ne vint se ficher sur son visage parfait. Rien. Son subconscient avait-il souhaité sa mort pour qu’aucune émotion ne vienne le perturber ?

Derrière lui, des hommes en costard. Silencieux, ils attendait. Le petit ne les avait pas remarqué, il ne s’était pas douté que quelqu’un était à l’origine de l’assassinat de sa mère. Car oui, c’en était bien un.

Homme en costard 1 : « On embarque un gosse ? »
Homme en costard 2 : « Ouais, ordre du Parrain. »

Les deux hommes se saisirent du garçon et le portèrent jusqu’à un camion. Ils l’enfermèrent à l’arrière, puis mirent la clé dans le contact et démarrèrent. Le garçon s’était laissé faire, il n’avait pas résisté. Il ne s’était même pas demandé où on l’emmenait, ni qui étaient ses ravisseurs. Non, il s’en fichait. Il sentait que quelque chose changeait en lui, mais il n’aurait pas su dire quoi. Il n’aurait pour l’instant pas su dire quoi que ce soit, de toutes façons.

__

La mafia faisait des choses pas très légales, quand Giotto la rejoignit. Encore gamin, on l’embarquait pour qu’il voit les horreurs qu’ont peut commettre. Blanchiment d’argent, trafic d’armes… Tout ça avait contribué à la mort de plusieurs dizaines de personnes. La famille en question était d’ailleurs en contact avec un père de famille. Le garçon partait avec eux, et il avait ainsi rencontré Ambrosie, la fille de cet homme. Plusieurs fois il était revenu la voir avec d’autres personnes de la famille. Ils avaient joué ensemble et étaient devenus amis.
Giotto l’a perdue de vue, mais il aimerait la revoir.
________


Il était devenu le Parrain. Avec sa petite bande, il aimait traîner dans les bars, juste « pour le fun », parce que Giotto détestait boire. Il avait remarqué une fille au comptoir. Jolie, assez grande, brune, avec des yeux bleus magnifiques.
Soudain, changement. Sa personnalité venait de changer d’une seconde à l’autre.
Il était devenu le Giotto narcissique, coureur de jupon, sombre et un peu pervers sur les bords. Il s’approcha du bar et s’assit à côté d’elle, regardant le fond de la salle comme s’il ne l’avait pas remarquée et qu’il attendait quelqu’un. Il demanda un verre de vodka, même s’il détestait ça, il pourrait frimer. Le barman lui servit son verre. Durant quelques secondes, Giotto observa le verre avec suspicion, puis Son Altesse Sérénissime daigna enfin tremper les lèvres dans la liquide fort. Il but péniblement une gorgée, l’alcool lui brûlant la gorge. Il entreprit une tentative de drague, essayant de boire une gorgée de son verre de temps en temps. Parfois, la jeune fille réagissait, puis su murait à nouveau dans le silence. Un dénommé Fabio intervint.

Fabio : « Tiens, Sen’sai no Giotto, le Parrain. »

Bref hochement de tête.
Giotto fit de même, tout en se rapprochant un peu d’Heather. Fabio le pria de s’éloigner, ce que Giotto fit à contrecœur en grommelant.
Il a croisé plusieurs fois Heather et garde une sorte d’appréhension de sa personne.

________

Giotto apprit plus tard qu’on l’avait enlevé parce qu’il était « l’Héritier » d’une famille de maffieux assez importante et qu’il devait recevoir l’éducation d’un futur Parrain.

Giotto est très habile dans le maniement du revolver. Il est très doué, que ce soit pour s'en servir à distance ou au corps à corps. On le lui a donné quand il était gosse, à peine rentré dans la mafia. Il a découvert que c'était la radioactivité de la centrale qui avait modifié son arme, qui était à la base un flingue normal. Il y est très attaché et le considère comme une "partie" de lui. Il lui a même donné un nom. Son flingue s'appelle Jezebel. Il aime à penser que son arme a une âme. Plus précisément une âme féminine. Il lui arrive de lui parler.