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Nom : Yunn Prénom(s) : Océane. Fleur Age : 14 ans Sexe : F. Race : Anaril Tics : Elle enroule une mèche autour de son doigt ou se balance d'avant en arrière lorsqu'elle est gêné. Peurs : Les ambulanciers; les pompiers; la police: tout ces gens qui sont capable de sauver des vies mais aussi de manquer à leurs taches. Les sirènes de leurs véhicules qui clament haut et fort, lorsqu'ils passent, que des vies sont en danger, que des vies risquent de partir loin des vivants et ne plus revenir. Des vies comme celles de ses parents et de son frère qui ont depuis longtemps, quitté le monde des vivants. Préférences : Elle aime le jus de fruits plus que tout, la sensation de l'eau sur la peau, nager dans l'eau, l'eau tout court, courir sur les toits, sauter, l'agitation, le clair de lune, les rayons du soleil, les animaux, les couleurs vives, le plaisir de vivre, l'air doux et frais de l'extérieur, la nature et ses grandes forêts ainsi que le gargouillement rassurant des ruisseaux. Dégoûts : Les épinard accompagné d'œufs durs, le gris morne, les gens qui ne font pas attention au plaisir de la vie, la solitude et les cons ~ Autres trucs inutiles : Elle na plus de parents ni de frères et ni sœurs, vit seule et est d'une grande débrouillardise :3

Character Sheet ~

Océane, Océane, Océane… que peut-elle bien vous cacher ?
Elle est d’un naturel joyeux. Elle aime le plaisir de la vie et n’a pas peur d’adresser la parole à des gens. Elle fuit la foule des furies qui se déverse dans les magasins ainsi que les bars trop pleins. L’air frais de la nature c’est sa source de vie peut-on dire. Pourtant Océane aime aussi les choses sombres, la nuit, la compagnie de gens inconnus et le clair de lune. Certain jour, elle est triste et sans vie, d’autres elle peut devenir extrêmement envahissante.
Pourtant ce n’est pas à moi de vous dire son caractère, vous prévenir de ses défauts pour que vous vous prépariez mieux lorsque vous la croiserez. Non, elle change comme tout être humain (ou mutants xD) elle ne reste pas figée dans un cadre fixe, elle bouge, s’anime et parfois un rien peut tout faire changer.

Tell me your story ~

Les bruits retentissaient autour, ils me déchiraient les tympans, je n'en pouvais plus, je n'en pouvais plus... Un homme passa à la course devant moi il trainait un long tuyau rouge relié à un camion de couleur semblable. La chaleur était étouffante et insupportable. Je resserrais la prise de mes bras sur mes genoux les ramenant encore plus proche de mon cœur. Des mèches bleues me tombaient devant les yeux mais elles ne m'empêchaient pas de voir les flammes s'élever haut dans le ciel. Le bâtiment brulait, un immeuble de 9 étages aux fenêtres étroites, je pouvais entendre les cris des personnes retentir d'entre les murs. Elles criaient de les sauver, de sauver leurs vies et celles de leurs enfants. Elles criaient d'angoisse, de peur et de désespoirs. Leurs cris déchiraient l'air. Je plaquai mes mains sur mes oreilles et une larme roula sur ma joue.

Les flammes étaient partis du bas, emprisonnements les personnes des étages supérieurs. L'immeuble était souvent qualifié d'étrange car ses fenêtres étaient d'une tailles minuscules et ne laissait filtrer qu'un mince filet de lumières. Aujourd'hui, ces fenêtres allaient couter la vie à plusieurs personnes qui en désespoirs de cause, les ouvertures de fenêtre étant trop petite pour sauter, allait se ruer dans les flammes essayant d'atteindre une sortie.

Dos contre le mur froid d'un bâtiment voisin, j'essayai de me souvenir de la manière dont j'étais sortie, mais elle m’échappait tel un serpent glissant entre les broussailles. Je ne me souvenais plus que des cris, de la fumée dense et des personnes qui couraient en tout sens.

Je relevai la tête et mes yeux s'écarquillèrent. Un plan de mur venait de s'écrouler. Je tendis une main impuissante en la direction de l'immeuble. Non... non, non, non, nooon ! Pas cette partie de l'édifice, pas celle là, pas celle là... ! Mes larmes redoublèrent, ma mère, mon père, mon frère, ma sœur... ils étaient dans cette partie, ils étaient dans notre appartement, ils étaient coincés a cet endroit... à l'endroit où le pan de mur venait de s'écrouler... non...
Pourtant la vérité s'insinuait dans mon esprit.
Ils étaient morts... tous.
Sauf moi.

Je tournai le regard de l’incendie et mes yeux tombèrent sur mon sac bleu marine. Mes parents avaient toujours voulu qu'il soit prêt si nous devions faire un départ précipité. Je n'avais jamais vraiment compris pourquoi car j'imaginai mal ma famille fuir... mes parents n'avaient jamais fuient. Pourtant je me souvenais qu'un jour ma mère avait tenté de m'explique la raison. Mon père avait vécu plusieurs guerres sanglantes et même si aujourd'hui on vivait dans une ville calme ses souvenirs étaient encore marquants et il ne voulait rien entendre de nos protestations quand il vérifiait l'inventaire de notre sac. Aujourd'hui ce sac était surement la dernière chose qu'il me restait de ma famille.

Je rouvris les yeux que j'avais fermé sous le coup de l'émotion et vit les ambulanciers, les policiers et les pompiers, tous qui s'affairait autour de la bâtisse en proie aux flammes. Il semblait bien impuissant, pensai-je, par rapport au désastre qui se déroulait.
Lorsqu'un policier s'approcha de moi, une main réconfortante tendue dans ma direction, ma décision fut prise.
Je me relevai et empoignai mon sac légèrement roussis par le feu.
Puis, je tournai les talons et pris la course, sous le regard ahuri du policier.
Derrière moi les cris d'agonies des habitants aux prises des flammes retentissaient toujours.

J’avais 12 ans le lendemain matin.

Vous pouvez dire que c’est impossible qu’une si jeune fille parte, s’enfuie et laisse tout derrière elle, bien qu’il ne lui reste plus rien. Pourtant j’ai appris a me débrouillé. Au début, j’ai erré longtemps dans les rues comme un fantôme à la recherche de son passé disparu avant de me reprendre. Je n’allais pas me laisser abattre. Ma famille ne l’aurait pas voulu. Elle aurait préféré me voir vivante, profiter pleinement de la vie et non pas me laisser mourir à petit feu.
Bon d’accord elle aurait aussi voulu que les autorités ce charge de moi mais la seule vue d’un policier, d’un pompier ou d’un ambulancier me faisait frissonner de la tête au pied. Tueur, tueur, tueur... me disait sans cesse mon esprit à leurs vue même si je savais que ce n’était pas leur faute. Pourtant à chaque fois, la peur me prenait et je partais dans le sens inverse. Je les fuyais.
Je ne vais pas tout vous expliquer en détail le reste de mon histoire mais en grandes lignes j’ai réussis à me trouver un appartement pas cher ou l’on ne jugeait pas sur l’âge bref un contrat un peu noir mais dans mes besoins s’était pas mal. Peu à peu j’ai repris gout la vie, je n’aimais pas reste cloitrer chez moi et ca ma oblige à sortir peut-être que l’air frais était le meilleure baume sur mes plaies mentales qu’avais laisse l’incendie. J’en suis presque venue à passer mes journées dehors ainsi que la nuit. A 13 ans je prenais de plus en plus gout à la liberté. J’ai appris à me déplacer seule sur les toits, a me débrouiller pour obtenir ce que je voulais sans de questions indiscrètes, ainsi qu’a fuir les ennuis. C’est blizzard à expliquer mais lorsque l’on passe son temps à courir, sauter, sentir le vent dans ses cheveux, la liberté, c’est magique en étant réel.
La question de l’argent ne c’est pas posse pendant une période car mon père avait aussi pense a des billets et un compte en banque rempli d’une certaine sommes. C’est en faisant les comptes que j’avais compris que je n’allais pas pouvoir vivre une éternité sur cet argent. Je m’étais mise à faire des petits boulots par ci par la mais toujours a l’extérieur, je ne pouvais supporter les grands magasins, la foule et leurs sacs de magasinages. J’aimais lorsque c’était calme, les fringues de couleurs souples et agréables à porter. Comme des jeans, quoi.
Je connaissais aussi certaines personnes qui étaient disons aussi nocturne, comme moi. Parfois, je leurs rendais services en échange d’argent. Un jour, j’étais même allé chercher des papiers dans une grande maison, une sorte de petit cambriolage, pour savoir en contrepartie manier un pistolet ainsi qu’en posséder un. Ce n’était pas bien, je le sais, mais je ne voulais pas manquer cette occasion en sachant qu’un jour, a trainé dans des ruelles sombres en pleines nuit ou sur des toits je pouvais très bien tombe sur quelqu’un d’un peu louche. Je n’étais pas super bonne disons, mais les couteaux ca, je savais. STOOP ne pensez surtout pas que j’ai tué quelqu’un, j’en serais incapable mais alors totalement. Des couteaux a part s’en servir pour manger, c’est pratique pour couper des trucs (pas des personnes ! ) ou encore pour grimper. Bref, pleins d’utilités un peu blizzard jusqu'à sa fonction de tournevis.
Je n’ai jamais oublie ma famille. Je me l’imaginais parfois avec moi dans mon minuscule appart avec une grande fenêtre. Quand je sortais dehors sous les rayons de soleil je fixai un instant le ciel, avant de repartir en marche.
Puis il a eu l’explosion, cette grande déflagration de la centrale, des morts a la pelle et pour le reste des habitants l’impossibilité d’explorer le monde pour la seule raison que nous avions muté.
Muté.

Race

J'aimerais un animal agile qui convient a Océane en fonction de son histoire et de son caractère. J’vous fait confiance ;D

Pouvoir / arme / double officiel

N'écureuil. Un petit animal agile, souple qui peut autant courir en tout sens qu'être étrangement immobile l'écoute des sons qui l'entoure.
Océane à muté, comme tant d'autre habitant. Peut-être étais-ce le fait qu'elle soit dans un parc ou encore qu'elle mangeais des marrons chauds que l'écureuil soit l'animal avec lequel elle a fusionnée. Bah, on n'en saura jamais rien. N'empêche que l'écureuil c'est un animal qui lui correspond bien. Oui bon d'accord, mis a part cette fâcheuse manie qu'elle a d'oublier ses affaires a différents endroits et de ne pas se rappeler ou, l'écureuil est autant joyeux à sauter de toits en toits que notre chère Océane.
Étant Anaril, Océane a hérité des particularitées d'un écureuil. Grimper aux arbre, sauter, l'équilibre ou l'agilité n'est plus un problème pour elle, de plus son odorat et son toucher se sont également développer. Son corps est d'autant musclée que fin et souple.
Elle possède aussi de très bons réflexes et a toujours une partie d'elle même sur le qui vive- peut-être dut a sa mutation ou encore au fait que pendant un temps elle faisait pas des travails très blanc-. Bref, l'écureuil lui convient bien malgré les pouces de ses mains qui sont relativement petit, de sa grande folie des graines ainsi que de ses yeux qui parfois vire au noir.

Pseudo

:3 So… je suis sens dire quoi les gens ? Oui, oui je sais j’ai un peu expédié à la va vite sa fiche de caractère mais bon tant pis. J’aime ce fow, j’adore le contexte aussi, j’aimerais bien qu’il vive et pas qu’il coule dès le premier mois, quoi :3
Moi ? Been… vla moi c waelia, 13 ans depuis peu et je préviens c’est mon premier forum avec des humains : P

P.S.: Il y a surement pas mal de fautes dans la dernier partie de l'histoire notamment avec les accents (mon clavier ne marche plus très bien (grop bug)) j'en suis désolé :S