" Va sauter du haut de la tour Eiffel et fous moi la paix. "
Voici une phrase que je te dirais surement si je ne t'aime pas et que tu m'a légèrement énervé. Eh non, je ne suis pas une gentille fifille à sa maman. J'ai du caractère et c'est tout. Je ne me laisse jamais marcher sur les pieds, au risque de m'attirer souvent des ennuie. Je revendique mes idée, me fait entendre et écouter. Je suis ambitieuse, et j'assume.
Je suis ce que l'on puis appeler un garçon manqué. Je me trouve bien mieux en compagnie de la gente masculine que de la gente féminines dont je suis issue.

Nous en venons donc à une autre facette de ma personnalité: je suis manipulatrice.
Je voud flatterais, vous embobinerais, vous charmerez si cela puis m'être d'une quel qu'onque utilité. Je n'ai pas d'amis, seulement des pantins que j'utilise à ma guise.
Non, je ne me croie pas supérieurs aux autres, je ne voit tout simplement pas l'utilité d'avoir des amis. Cela ne veut pas dire que je rejette totalement la compagnie.
Le plus souvent, je préfère être seule mais il m'arrive de trouver plaisant de parler avec quelqu'un, c'est rare, mais c'est alors que je vous considérerais comme un possible allié. Rien de plus.

Pourquoi ce besoin de manipuler, de contrôler ?
Je suis amnésique... Et j'en souffre. Mentalement, physiquement... Enfin bref, je souffre. Il semble que j'aie un trouble mental qui me fait le cacher derrière ces deux facettes, afin de ne plus souffrir.
C'est comme une dose d'héroïne... En fait, c'est ma dose personnelle d'héroïne. En plus de cela, je me drogue... Oui, je me drogue. Aux médocs plus précisément. Histoire d'apaiser un peu cette douleur.

Est ce que quelqu'un sauras tout cela un jour ? J'en doute.

"- Merci Verman... Malheureusement, il y a un problème.
- Lequel ?
- Tu as laissé un témoin
- Ah... Ah oui ?
- Oui, et malheureusement, c'est impardonnable... Kim !
- Qu'y a t'il père ?
- Peut-tu t'occuper de lui ? J'aie d'importantes choses à faire et n'a pas le temps de m'occuper de ce misérable.
- Bien sur. "

Tandis que l'homme sortait de la pièce, le jeune garçon s'abattait sur le sol, une balle planté dans le front. La jeune fille nommée Kim sortit, un sourire en coin.

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Un an plus tard

Sur la route, deux fourgons noirs roulaient l'un derrière l'autre. Au bout d'un quinzaine de minutes, ils s'engagèrent sur des petits chemins boueux jusqu'a un vieille hangars abandonné.
La, les deux voitures s'arrêtèrent. De la première sortit une fille élancée, aux longs cheveux bleus et au regard froid et cruel.
Du deuxième fourgons, un petit homme bedonnant qui la suivit jusqu'a l'arrière du fourgon. La, ils tirèrent avec peines les deux lourdes portes blindée.
Derrière, il y avait toute une cargaison de sacs de drogues, de cocaïne, plus précisément.
L'homme, suant, tremblant, tandis alors la main vers Kim.

"- V... Vous avez la livraison... L'argent maintenant.

La jeune fille le dévisagea froidement puis, sans aucun mot, elle sortit un canif et trancha l'enveloppe d'un des sacs. Des grains de riz s'en écoulèrent à foison.
La jeune fille pris le sac et le jeta rageusement à terre.

- C'est ça, votre livraison ? Qui êtes-vous, pour qui travaillez vous ?
- Pour ton pire ennemie ma belle.

Il plongea alors la main dans sa poche... Et il tomba, raide mort à terre.
La jeune femme ne lui avait pas laissé le temps de sortir son arme.
Elle se tourna vers le fourgon d'ou sortais déjà son père.
Elle lui hurla alors un avertissement.

- C'est un piège !

Mais il était trop tard. Son père tombait à terre, touchait par une balle en pleine poitrine, tiré du poste de conducteur du fourgon.
Kim ne fit pas une ni deux, elle se plaça devant la fenêtre et cribla le conducteurs de balles.
Lorsqu'elle en eu finie sa besogne, elle se précipita à genoux devant son père qui respirait faiblement.

- K... Kim... J'ai... J'ai une dernière mission a... a te confier.
- Dîtes père, dîtes.
- C... celui qui nous a tendue ... ce... ce piège fait partie... de la... la famille Corado.
- Corado ?
- Oui... Va... Va et tue la responsable de cette machination... Heather Kaitlin Rosary.
- Une vie pour une vie... Je le ferais, pour vous père.
- ...
- Père ?

Mais il était trop tard, la poitrine du grand mafieux ne remuait plus.
La jeune fille partie à bord du fourgon - sans permis bien sur - un désir de vengeance profondément ancré dans son coeur, elle se promit d'exaucer la dernière volonté de son père.

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3 mois plus tard

Une ombre se faufiler en face d'une énorme bâtisse, une villa semble-t-il.
Sur son, dos, elle portait un long étui noir lui aussi.
Là! Une fenêtre ouverte, de la lumière. Elle s'approcha et vit alors une jeune fille aux long cheveux noirs et aux yeux de glace : Heather Rosary.
Elle se mit dans un bon angle et posa l'étui qu'elle ouvrit.
A l'intérieur, il y avait un sniper dernier cri, le meilleur modèle jamais sortie. Elle l'installa et visa le front de la jeune femme.
Elle ferma un oeil et posa le doigt sur la detente.
Puis, se fut le troue noir.

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Elle se réveilla dans un lit.
Kim ne souvenait de rien, seulement de son prénom, elle avait une grande trace de brulure sur l'un de ses bras, c'est alors que naquit sa phobie du feu.
Elle avait fait son entrée dans l'orphelinat et dans sa nouvelle vie, déterminer à savoir qui elle était vraiment et ce qui c'était passé.

Lorsqu'elle est pris d'une des ses crise, que ce passe-t'il...
Eh bien, tout d'abord, quoi que vous lui annociez, elle seras souriante... Vous pouriez autant lui annoncer qu'elle va mourrir dans cinq minutes qu'elle vous sourirait et rigolerait.
Ensuite, elle n'a aucun moyen de savoir si elle à mal ou pas, si elle est bléssée ou pas.
Même si elle avez une balle en plein dans la cuisse; elle marcherait normalement et se viderait de son sang ce qui n'est pas son objectif numéro un.
Ensuite, elle à un surplus de confiance en soi énorme, astronomique, titanesque... Oui oui, je vous explique : Par exemple, elle joue au poker, eh bien elle pourrais parier 1 million de dollars que de un elle n'a pas et de deux avec, pour cartes, un deux de piques et un 9 de coeur. Elle sur-estime aussi ses capacité physique et donc elle pourrait vouloir courrir deux heures à trente kilomètres à l'heure.
En crise, elle ne dors pas. Elle est bien trops heureuse, exitée pour. Ce qui fait que elle finit épuisée, mais elle ne s'en rend pas compte.
Le seul petit bon point encore est le fait que elle ne perd pas espoir, jamais, lorsqu'elle est en crise d'heuphorie.

Et vous savez le pire ? C'est qu'elle sait qu'elle fait des crises mais elle ne peut rien faire pour l'éviter et ça la fait encore plus enrager.